Le tour du monde ... en dériveur
Aller pour vous donner le moral en ce début de semaine voici un petit article légèrement décalé.
Après avoir évoqué hier la difficulté que représente la manuvre seul dun engin de 18m pendant plus de 90 jours (sauf pour quelques bienheureux qui sont arrivés à faire un peu moins !), eh bien voici 2 photos qui prouvent que finalement leur tour du monde nest pour eux rien dautre quune petite sortie en dériveur dans la baie
Conrad H. qui barre au trapèze le stick dans la main
pour doubler Joé S. en vue de larrivée
et ça la fait pour 18 petits miles de mieux !!!
Bon la seconde photo fait un peu moins rire mais elle reste quand même 100% dans la veine dériveur qui reste une excellente école pour apprendre à naviguer car chaque erreur grave se solde immédiatement par un bain et là je ne sais pas si Jean-Pierre Dick a fait une erreur mais le bain nest pas loin
dailleurs regardez sa tenue : il y est plutôt bien préparé !
Jean-Pierre Dick quelque part en mer dans une posture (peu enviable il faut bien le reconnaître) de léquipier unique dun dériveur type laser : lécoute de grand-voile dans une main, la barre dans lautre, la combi et le gilet bien serrés
ça mouille comme sur un vulgaire 420 sauf que là la luge elle fait quand même 18m et peut aligner des journées à plus de 300 miles faciles !
Aller pour finir la galerie photo, voici un vrai engin de plage mené par des vrais amateurs sur un plan deau intérieur.
Pour les curieux cest moi au trapèze (qui est dailleurs super mal réglé car bien trop court, le couple de rappel est loin dêtre optimum je suis bien trop haut au dessus de leau !)